Durant le temps à Arsenal je me suis concentré sur un cosme, le nous du Donut et de mon corps passionnel. De ce nous, s’est détachés différents microcosmes, le tout vibrait, bruissant, grinçait.
Ce fût sublime.
CIE c’est une fragmentation de ces espaces, c’est accepter la pluralité de l’espace-instant. Dans ce travail, j’accepte l’instabilité émotionnelle de mon présent.
fatigue / solitude / incertitude.
C’est de là que les vibrations sont arrivées, les empoignades m’étaient nécessaires, j’en étais là, c’était, c’est mon présent.